Comment gérer une fille nymphomane ?

Article éducatif sur la nymphomanie et comment gérer une fille nymphomane. Alors, que faire si vous rencontrez une nympho ? Comment vivre avec une nymphomane ? Et comment savoir si on est nymphomane, au fait ?

 

Peut-être que vous vous dites « ma femme nymphomane a trop de libido », parce qu’être nymphomane ou être avec une nympho, c’est pas facile… alors, cet article va vous intéresser !

 

Qu’est-ce que la nymphomanie ?

Quelle est la définition de la nymphomanie ? C’est quoi la nymphomanie ? Comment savoir si on est nymphomane ? Qu’est-ce qu’une nympho ?

J’entends déjà ceux qui vont dire « ah trop cool, une nympho ! moi je la baise tout le temps, elle va trop être satisfaite avec moi, et du coup, elle ne sera plus nympho, et tout.. ! « 

Non, la nymphomanie, ce n’est pas cool, c’est une maladie, en fait. La personne qui est nymphomane- ça vient de « nymphe » et de « maniaque »: nymphe un peu folle- , sa maladie est souvent d’ordre psychologique, et elle souffre vraiment, car elle est atteinte d’une sexualité compulsive.

Elle ne dira pas « j’ai une super libido » mais plutôt « je ne peux pas m’en empêcher, il faut que je baise, il faut que j’aie ma dose » et c’est vraiment une souffrance. Désolé, vous vous attendiez peut-être à un article drôle, mais le sujet n’est pas drôle pour les personnes qui sont concernées.

 

D’où vient la nymphomanie ?

D’où cela peut-il venir, la nymphomanie ? -Notamment de l’anxiété, c’est un désordre d’ordre psychologique, par peur de l’abandon. Elle peut être dépressive, ou en phase maniaque. Certaines personnes développent une nymphomanie quand elles s’ennuient : il y a des gens qui s’ennuient, et qui comblent le vide avec la sexualité. Et puis bien sûr, le narcissisme, car un narcissisme exacerbé peut aussi mener à la nymphomanie.

 

Comment vivre avec une nymphomane ?

Ce qui n’est pas cool chez la nymphomane, c’est qu’elle n’est jamais pleinement satisfaite, et si vous êtes son copain, vous pouvez vous mettre un défi de l’ordre de l’ego, celui de la satisfaire – « je vais lui mettre sa dose ! », mais non, en fait, vous n’y arriverez pas, vous allez baiser dix, quinze, vingt fois éjaculer vingt fois, vous serez crevé vous n’en pourrez plus, et elle en redemandera encore, elle va vous user jusqu’au bout.

C’est difficile à gérer, et je vais vous proposer des solutions pour cela.

Poser des limites

Mais si vous êtes en couple avec une nymphomane – il ne faut pas mal la traiter,  elle peut être une fille très bien- , il faut apprendre à poser des limites à votre sexualité :  » là, je ne baise plus, j’ai autre chose à faire dans ma vie, c’est bon, j’ai ma dose, plus que ma dose, tu es une fille super, mais là, j’ai d’autres trucs à faire ».

Les sextoys

Et puis vous pouvez lui offrir des sextoys, l’encourager à les utiliser, ils peuvent vous soulager un peu.

Le libertinage (et le porno)

Vous pouvez faire du libertinage, j’imagine que c’est pour cela que certains couples sont candaulistes : n’en pouvant plus de satisfaire leur femme, ils font venir d’autres mecs pour la baiser parce qu’ils sont épuisés. J’ai connu une fille qui fait du porno, complètement nymphomane : son exutoire, c’est d’aller faire du porno, donc elle baise tout le temps, et c’est comme ça qu’elle canalise ses besoins, et qu’elle joint l’utile à l’agréable puisqu’elle gagne du fric comme ça.

Le masturbation

Il y a la masturbation féminine : vous pouvez lui dire de se toucher devant vous, et vous êtes un peu tranquille. Elle va aimer s’exhiber, aimer être regardée quand elle se masturbe.

Le cunni

Il y a le sexe oral : vous pouvez lui faire des cunni et reposer votre bite si elle est en surchauffe.

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Et puis la meilleure des solutions, c’est peut-être de faire une thérapie avec un psy pour se soigner, puisqu’on a vu qu’il s’agit souvent d’un désordre psychologique. Il y a des chances que ça puisse aider la personne qui souffre de nymphomanie.

 

Conclusion sur la nymphomanie

Le sujet n’est pas facile à aborder, on peut en avoir honte, mais avec un professionnel de la santé, on doit pouvoir se confier, lui dire pourquoi on consulte, et ce qu’on attend de la thérapie. Si cet article vous a plu, n’hésitez pas à le commenter et à le partager !

 

Votre coach en sexualité,

Fabrice Julien

PS : juste, ne confondez pas « nymphomane » et « fille qui n’est pas satisfaite car mal baisée par son conjoint ».