Si vous vous trouvez une fille qui n’a jamais joui de sa vie, ou très peu, et qui a du mal à franchir le pas, malgré la super stimulation que vous lui faites, si elle ne parvient pas à se lâcher, à décoller, je vais vous en donner la raison, et vous expliquer ce que vous avez à faire. L’orgasme, c’est cérébral, je vous le rappelle. Parlons donc de l’accompagnement à l’orgasme féminin (mais ça doit marcher aussi pour les hommes) !
L’accompagnement à l’orgasme féminin
Trois conditions doivent être remplies pour faire un bon accompagnement à l’orgasme.
Accompagnement à l’orgasme : la sécurité (la rassurer !)
D’abord, donner à la fille un sentiment de sécurité. Si vous êtes dans une relation de long terme, ça ne devrait pas être nécessaire. Moi je fais cela avec un coup d’un soir et voici pourquoi cela réussit : quand une fille a peur de l’inconnu, quand elle même ne maîtrise pas son corps ni ses sensations, car elle ne se masturbe pas, ne se touche pas pour jouir, en ayant recours à des techniques pour la faire jouir, pour la faire éjaculer, on l’effraie ; elle ne sait pas trop ce que ça va lui faire, elle a peur que ce soit trop fort, voire elle a peur de faire pipi (parce qu’elle confond les sensations). Voilà pourquoi il faut la rassurer, lui dire « crois moi, tu ne risques rien, ne t’inquiète pas, c’est normal ce que tu ressens, tu ne vas pas pisser, tu vas juste jouir, avoir un véritable orgasme. » La rassurer c’est la première clé.
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Accompagnement à l’orgasme : l’encouragement
Deuxièmement, il faut l’encourager, l’encourager à y aller complètement ; dites par exemple « vas-y, j’adore te voir comme ça, oh j’adore quand tu jouis, tu aimes ce que je te fais là, tu vas jouir pour moi, vas-y! » Voilà pour encourager la fille à jouir.
Accompagnement à l’orgasme : une bonne stimulation
Bien sûr, on n’est pas dans une séance d’hypnose érotique, il faut enfin une bonne stimulation. Avec une stimulation moyenne ou pas terrible, votre partenaire ne va pas forcément jouir, mais si votre stimulation est très bonne, très forte, elle va décoller, son cerveau ne va plus pouvoir mettre un stop, ce sera trop bon, elle va dire « j’ai trop peur de jouir, je me laisse aller, je n’en peux plus ah c’est trop ! »
Donc vous lui faites une stimulation par exemple en cunni, vous lui bouffez bien le clito et en même temps vous lui doigtez le point G ou le deep spot. Elle a la double stimulation, vous tenez un bon rythme pendant le temps qu’il faut. Moi même, je peux mettre une demi-heure avant de débloquer certaines filles ; la première fois que je couche avec elle, il faudra une demi-heure, la fois suivante dix minutes, puis cinq minutes, et il y a des filles qui sont revenues me voir pour me dire « tu m’as débloqué l’orgasme ; j’ai eu d’autres partenaires depuis, et j’ai joui avec eux, alors que ce n’était pas le cas auparavant ».
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Conclusion sur l’accompagnement à l’orgasme
L’orgasme, c’est vraiment cérébral, et si votre partenaire a des blocages vous pouvez vraiment améliorer sa vie sexuelle. Vous pouvez également lire ou relire avec profit parmi mes articles ceux que j’ai rédigés sur l’orgasme, et sur les préliminaires : Comment reconnaitre un orgasme véritable? Qu’est ce qu’un bon préliminaire?
J’espère que ces conseils vous auront été profitables ; dans l’affirmative, n’hésitez pas à vous abonner à ma newsletter !
Votre coach en sexualité,
Fabrice Julien